Psychologie en ligne

L’intérêt croissant des psychologues pour la thérapie en ligne

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L’intérêt croissant des psychologues pour la thérapie en ligne

En France, 77% des psychologues sont intéressés ou pratiquent déjà la thérapie en ligne. Le large accueil de ce système n’est donc plus à démontrer comme le souligne l’enquête PsySurvey réalisée auprès d’une centaine de psychologues dans le monde entier.

En effet, si 40% des psychologues se disent intéressés mais ne la pratiquent pas, 38% sont déjà convaincus par la thérapie en ligne. Ce chiffre est révélateur de l’intérêt grandissant des psychologues pour les nouvelles technologies.

Les consultations psychologiques en ligne connaissent un succès croissant, et si elles ne remplacent pas une thérapie en face à face, elles permettent d’ouvrir la porte à un autre public – celui qui, sans écran, ne l’aurait peut-être jamais franchie. De nos jours, de nombreuses personnes ont recours à des consultations en psychologie car elles recherchent des d’outils pouvant les aider à affronter leurs problèmes.

La technologie permet de parer à un frein important lors de la recherche de thérapeute : le regard des autres et la peur de l’inconnu. L’écran peut ainsi favoriser, paradoxalement, la désinhibition du patient et le rapprochement avec son thérapeute. La thérapie en ligne est donc plus accessible et permet de ne pas décourager le futur patient. D’ailleurs la thérapie en ligne est souvent un premier pas vers la thérapie en présentiel.

Mais ce qui rapproche vraiment une séance en ligne d’une séance en face-à-face est la consultation par Skype ou toute autre plate-forme permettant une communication audiovisuelle avec le/la psychologue. Quelle que soit la méthode que nous choisissons, la qualité du service sera toujours identique ou devrait l’être.

Et pour les professionnels qui expriment des doutes quant à ces nouvelles pratiques, il est possible de coupler thérapie en ligne et thérapie en présentiel pour faire une rencontre préalable afin d’établir dans un premier temps une relation.

Source : Enquête PsySurvey 

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